Librairie Pierre Saunier

La Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle sérieLa Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle série La Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle sérieLa Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle série La Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle sérieLa Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle série La Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle sérieLa Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle série La Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle sérieLa Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle série La Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle sérieLa Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle série La Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle sérieLa Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle série La Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle sérieLa Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle série La Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle sérieLa Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle série

Fénéon (Félix).
La Revue indépendante de littérature et d’art. Nouvelle série. Tirage des Fondateurs-Patrons.

Paris, (Imp. Louis Royer & Imp. de La Revue indépendante), 1886 - 1888 ; 25 fascicules in-12 reliés en 9 volumes, demi-chagrin vert, dos à nerfs orné, roulettes, filets, caissons, feuilles et fleurons dorés, tête or, non rogné (reliure d'époque). Du numéro 1 (tome I), novembre 1886 au numéro 26 (tome IX), décembre 1888.

12 000 €

Collection complète de cette nouvelle série –  En Grand Papier

Un peu plus d’un an après la disparition de La Revue indépendante de Fénéon et Chevrier, en novembre 1886, Edouard Dujardin crée sa Revue indépendante – qu’il aurait pu intituler autrement tant elle diffère de la première – et propose à Fénéon la place de rédacteur en chef qu’il occupe deux numéros de suite avant de démissionner, laissant Téodor de Wyzewa s’épanouir comme il l’entendait.

En janvier 1888, pour le numéro 15, Dujardin demande à Gustave Kahn d’être le nouveau rédacteur en chef. Kahn accepte et fait revenir Fénéon à ses côtés. La revue disparaît avec le numéro 26 de décembre 1888.

Tirage de luxe dit : Édition des Fondateurs-Patrons – soit un des quelques exemplaires tirés sur papiers spéciaux et à petit nombre et illustrés d’eaux-fortes, lithographies et dessins inédits, d’après un insert publicitaire.

Tome I, novembre-décembre 1886, les deux numéros sur simili Japon : – n°1, novembre, 4 études de James M. R. Whistler, en double tirage, sur japon et chine (soit 8 planches, sous serpentes). La couverture de ce premier numéro est conservée et porte la mention imprimée : Édition des Fondateurs-Patrons. – n°2, l’exemplaire est ici sur papier ordinaire au lieu du simili japon. Ça n’est pas catastrophique : le tirage de luxe de ce numéro ne doit pas comporter d’illustration en supplément. Pagination suivie, 360 pp. (dans cet exemplaire, à la suite du n°2 est ajouté le 7, sur Chine, avec trois croquis de Helleu – numéro double ici).

Tome II, janvier-mars 1887, les trois numéros sur Hollande : – n°3, janvier, 2 gravures par Albert Besnard – n°4, février, pas d’illustration – n°5, mars, 2 gravures par John Lewis-Brown. Pagination suivie, 484 pp.

Tome III, avril-juin 1887, les trois numéros sur Chine : – n°6, avril, 1 lithographie d’Odilon Redon – n°7, mai, 3 croquis de Helleu – n°8, juin, 1 eau-forte par Félicien Rops. A la fin de la table du tome III il est indiqué : Tirage certifié, GARANTI, par le gérant et l’imprimeur de La Revue Indépendante : 2125 puis 2100 exemplaires. Pagination suivie, 496 pp.

Tome IV, juillet-septembre 1887, les trois numéros sur Vélin teinté du Marais : – n°9, juillet, pas d’illustration – n°10, août, 1 croquis par Georges Seurat – n°11, septembre, 1 dessin par Pierre Auguste Renoir. Tirage à 2080 exemplaires. A partir du n°10, Jean Ajalbert devient le secrétaire de rédaction.

Tome V, octobre-décembre 1887, les trois numéros sur Grand papier à la chandelle grivelé (très épais) : n°12, octobre, 1 eau-forte et 1 lithographie par John Lewis Brown – n°13, novembre, 2 croquis par Raffaëlli – n°14, décembre, pas d’illustration. Tirage 2080 & 4500 exemplaires pour les n°13 & 14. Pagination, 500 pp.

Tome VI, janvier-mars 1888, les trois numéros sur papier bleu : – n°15, janvier, 1 lithographie de Paul Signac – n°16, février, 2 eaux-fortes de Camille Pissarro – n°17, mars, 1 lithographie de Jules Chéret. A partir du n°15, Gustave Kahn devient le rédacteur en chef. Dujardin reste le directeur, Jean Ajalbert le secrétaire de rédaction. Le tirage n’est plus indiqué.

Tome VII, avril-juin 1888, les trois numéros sur vélin du Marais : – n°18, avril, 1 eau-forte par Louis Le Nain – n°19, mai, 2 eaux-fortes par Camille Pissarro – n°20, juin, pas d’illustration. Pagination, 553 p.

Tome VIII, juillet-septembre 1888, les trois numéros sur papier de couleur, jaune : – n°21, juillet, 1 eau-forte d’Albert Besnard – n°22, août, 1 lithographie de Maximilien Luce – n°23, septembre, 1 eau-forte de Winnaretta Singer. Pagination, 498 pp.

Tome IX, octobre-décembre 1888, les trois numéros sur papier de couleur rose : – n°24, octobre, 1 gravure sur bois de Lucien Pissarro – n°25, novembre, 1 pointe sèche de Jacques E. Blanche – n°26, décembre, pas d’illustration. Pagination, 506 pp.

Collaboration de : Paul Adam, Jean Ajalbert, Barbey d’Aurevilly, Maurice Barrès, Paul Bourget, Lucien Descaves, Edouard Dujardin, Théodore Duret, Félix Fénéon, Maurice de Fleury, Louis de Fourcaud, Auguste Germain, Goncourt, Gustave Geffroy, Gustave Guiches, Heredia, Paul Hervieu, Huysmans, Frantz Jourdain, Gustave Kahn, Jules Laforgue, Henry Lavedan, Lemonnier, Stéphane Mallarmé, Octave Maus, Octave Mirbeau, George Moore, Joséphin Péladan, Francis Poictevin, Georges Rodenbach, J. H. Rosny, Jean E. Schmitt, Emile Verhaeren, Verlaine, Jules Vidal, Villiers de l’Isle-Adam, Walt Whitman, Téodor de Wyzewa.

Reliure moderne pour le tome IX refaite à l’imitation.