Librairie Pierre Saunier

L’Ame éternelleL’Ame éternelle L’Ame éternelleL’Ame éternelle L’Ame éternelleL’Ame éternelle L’Ame éternelleL’Ame éternelle L’Ame éternelleL’Ame éternelle L’Ame éternelleL’Ame éternelle L’Ame éternelleL’Ame éternelle

Andréa d'Audroin (Eugène).
L’Ame éternelle. 25 Gravures.

Paris, Picart éditeur, (1914) - 1918 ; in-folio (30 x 46 cm), en feuilles sous chemise cartonnée demi-toile noire à coins, étiquette de titre sur le plat  (cartonnage éditeur). 25 planches.

1 200 €

Premier tirage des 25 gravures sur bois (27 x 17 cm environ) tirées sur un fin papier couché ocre. Elles sont appliquées sur carton gris (44 x 28 cm) dans un encadrement noir – les planches sont numérotées à la main.

On ne sait rien sur Andréa d’Audroin, sinon qu’il exposa au Salon d’Automne en 1919. Voilà comment est présenté l’ouvrage au sommaire des gravures : Ame impatiente où brûle le désir créateur, Andréa Audroin peintre des allégories symboliques et somptueuses, plane au-dessus des préjugés. Son œuvre « L’Ame éternelle » chante dans une note passionnée ce qu’est « l’éternelle comédie humaine ». Personne avant lui n’avait osé saisir ce flambeau lui seul a su en saisir la flamme ! Fred Witmann.

Entre Beardsley et Jean de Bosschère...

Dos de l’intérieur du cartonnage défraîchi – signature de l’artiste au verso du premier plat.

Un oiseau rare.