Édition originale de cet indispensable précis bibliographique florissant de notices précieuses & documentées.
Mention abusive de deuxième édition, l’achevé d’imprimer est bien au 25 février 1913
Magistral envoi a. s. de Fernand Fleuret suivi d’un poème inédit de son double Louvigné du Dezert :
A Monsieur Coq, en sympathique souvenir d’un pauvre diable en trois personnes, Fernand Fleuret
Adieux de Louvigné / à la jeunesse, étant en son nage meur
Adieu, visage de l’automne / Comme la lune grave doux / Adieu beau chef aux cheveux roux / Dont le vent pille la couronne
Après toi, Flore, adieu Pomone : / Ma saison est celle des houx ; / Phillis, j’ai l’ange des grisous, / Adieu Phillis, adieu friponne !
Louvigné ne regrette rien, / Ny le plaisir vénérien, / Ny la Gloire, ny la Bouteille
Et, demain, au gré d’Atropos, / Il paraitrait devant Minos / Avecq’ le chapeau sur l’aureille !
Louvigné du Dezert
Exemplaire charmant malgré des petites rousseurs pointues disséminées çà et là comme de vagues comblements de papier sur la couverture ...