Édition originale française.
Elle fut imprimée par Balzac, au numéro 17 de la rue des Marais S. Germain.
En plus d’avoir imprimé le roman de Maturin, Balzac s’en imprégna fortement pour la composition de son Dernier Chouan, voyez l’article pertinent de Michaël Tilby publié dans L’Année balzacienne 2002/1 n°3 (pp. 229-268) où sont révélées toutes les parentés entre les deux romans.
Petites restaurations anciennes aux coiffes.
Bon exemplaire cependant.